Avec Avatar, James Cameron propose une des matrices essentielles de l’ère de la « Société de l’Information », celle de la co-évolution homme-machine. Toute la question est de savoir si elle ne risque pas de devenir une co- dépendance, à savoir une sorte d’addiction qui peut, soit être saine et désirable, soit pathologique et imposée. Le film maintient le suspense durablement, mais se positionne clairement à la fin…